SENEGAL
DAKAR LA CAPITALE Capitale politique et économique du Sénégal depuis l'indépendance du pays en 1960, Dakar (Dacar ou Dahar, qui signifie « tamarinier » en wolof) a été fondée en 1857 par des colons français placés sous le commandement du général Louis Faidherbe sur le site d'un village de pêcheurs Lébou et Wolof. Dakar s'est rapidement affirmée comme une escale de premier plan pour les navires européens à destination de l'Amérique du Sud, puis pour les avions de l'aéropostale. Les profondeurs nautiques de sa rade, son port naturel, de même que les nombreux terrains disponibles ont détrôné sans mal l'île de Gorée, exiguë et surpeuplée, située à quelques encablures, et ancien point de départ du trafic négrier hollandais puis français vers les Antilles jusqu'à l'abolition de l'esclavage (en 1848). L'essor de Dakar s'est encore accéléré lorsque la ville s'est substituée à Saint-Louis au rang de capitale de l'Afrique occidentale française (A.O.F.) en 1902. |
Musiques et danses ont toujours rythmé le quotidien des Sénégalais, avec une grande diversité suivant les régions et les ethnies. Elles se manifestent à l’occasion des cérémonies familiales (mariage, baptême, funérailles…), de séances d’animation et de loisirs nocturnes et durant les grandes fêtes d’initiation. De cette mosaïque de rythmes, le mbalax s’est s’imposé sur l’ensemble du territoire et résonne au-delà des frontières comme synonyme de la musique sénégalaise. Ce genre de musique percussive appartenant à l’ethnie wolof est orchestrée autour du sabar (nom à la fois de l’instrument, de sa danse et de sa musique). Mais il partage aussi la scène avec d’autres styles traditionnels comme le yela des toucouleurs, le bugarabu des Joola, le jambadong chez les Mandingues, le nguel en pays Sérère…
CULINAIRES
- Le sabar
- Le djembé
- Le nguel
- Le tama
- Le bugarabu
- Le riiti
- Le bombolong
- Le jambadong
- Le séoruba
- Le djung-djung
- Le balafon
- Le Yéla
- Instruments de musique et danses traditionnels du Sénégal
LES INSTRUMENTS DE MUSIQUE TRADITIONNELS
